Vous pensez connaître tous les détails sur la série 1923 ? Créée par Taylor Sheridan et diffusée le 18 décembre 2022 sur la plateforme Paramount+ aux États-Unis, ce spin-off spectaculaire de Yellowstone, exécuté par des légendes du cinéma comme Harrison Ford et Helen Mirren, regorge de détails surprenants qui échappent encore à de nombreux fans.

Entre anecdotes de tournage, choix créatifs inattendus et secrets bien gardés, voici 10 révélations qui vont totalement changer votre regard sur la série 1923. Plongez-vous dans l’univers des Dutton avec adekpaka.
1. Harrison Ford : Un rôle qu’il a bien failli refuser
Projetez-vous en train de suivre la série 1923 sans Harrison Ford… Inimaginable, et pourtant, l’acteur a longtemps hésité avant d’incarner la personnalité de Jacob Dutton avec une intensité rare. Dans une interview accordée à Variety, Ford, une célébrité pour ses rôles dans Star Wars et Indiana Jones, avoue ne jamais avoir tourné de série télévisée auparavant et craignait l’engagement que cela pourrait impliquer.
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Mais Taylor Sheridan, le concepteur de la 1923 série Yellowstone, a su le convaincre avec sa vision ambitieuse et un script irréprochable. Résultat ? Un vrai coup de maître pour un premier épisode pilote qui attire plus de 7,4 millions spectateurs.
2. Helen Mirren et sa magie d’improvisation de scène culte
Dans la série 1923, Helen Mirren a prouvé une fois de plus qu’elle vit profondément ses scènes. Déjà magistrale sous le personnage de Cara Dutton, Helen confirme qu’elle est aussi une véritable créatrice d’émotion brute. Dans l’épisode 4 de la saison 2, plus précisément dans sa lettre adressée à Spencer, elle improvise une réplique poignante de la saison 1 : « Si tu ne reviens pas, je viendrai te chercher moi-même. »
Cette phrase, qui ne figure pas dans le script original, a été gardée telle quelle au montage. Sheridan l’a qualifiée de « parfaite ». C’est ce genre de moment authentique qui rend la série 1923 si touchante et attrayante.
3. Série 1923 : un budget de réalisation à faire tourner les têtes
La série 1923 n’est pas seulement ambitieuse sur le fond, elle l’est aussi sur la forme. Selon Deadline, chaque épisode est estimé à plus de 35 millions de dollars, ce qui fait qu’elle dépasse de loin son prédécesseur 1883. Des scènes tournées en Tanzanie, à Malte, ou encore dans le légendaire Chief Joseph Ranch ont largement contribué à cette démesure budgétaire.
Et pour la 1923 saison 2, sortie en février 2025, les coûts ont encore grimpé. Comme c’est aussi le cas pour d’autres œuvres scénaristiques, s’agirait-il simplement d’un budget au service de la qualité ou juste d’une démonstration de force de Paramount+.
4. 1923 Saison 2 : seulement 7 épisodes au lieu de 8
Est-ce qu’il s’agit d’un changement de cap pour la 1923 saison 2 ? Préalablement annoncée pour 8 épisodes, elle n’en compte finalement que 7, soit un épisode de moins. Symboliquement, ce choix a déçu certains fans, qui dénonçaient un final trop expéditif.
Mais Taylor Sheridan explique vouloir conclure l’histoire en deux parties bien définies. Toutefois, cette coupe soulève des questionnements comme Paramount+ aurait-il privilégié les économies à la narration ? Un débat toujours en cours dans tous les sens sur les réseaux sociaux.
5. Timothy Dalton : l’ex-James Bond devenu méchant du Far West
On ne s’attendait pas vraiment à voir un ancien 007 dans un western. Et pourtant, Timothy Dalton crève l’écran dans le rôle de Donald Whitfield, en tant qu’antagoniste principal de la saison 2 de 1923. Dans une posture glaciale et menaçante, il tente de s’emparer du ranch Dutton quand il rachète leurs dettes. Bien que certains le trouvent un peu caricatural, d’autres saluent sa présence intense. Quoi qu’il en soit, Dalton impose une tension palpable dans la série 1923.
6. Une romance africaine qui fait l’objet de débats
Le voyage en Afrique de Brandon Sklenar, alias Spencer Dutton reste l’un des arcs les plus critiqués de la série. Entre paysages grandioses et histoire d’amour avec Alexandra, qui incarne Julia Schlaepfer, cette partie de la série tournée en Tanzanie offre un dépaysement total.
En dépit de l’intérêt qu’accorde IMDb à leur alchimie, certains critiques dénoncent une romance trop sirupeuse qui ralentit l’action principale. Dans le contexte de 1923 série Yellowstone, cet interlude exotique divise clairement.
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7. Teonna Rainwater : entre force et polémique
L’intrigue de Teonna Rainwater, jeune Amérindienne envoyée dans un pensionnat catholique, est sans doute la plus poignante et controversée. Clairement, Aminah Nieves livre une performance bouleversante. Certains fans saluent le courage de la série à aborder un sujet historique sensible. Pour d’autres, cela semble être une représentation un peu trop simplifiée. Dans tous les cas, cette trame apporte une profondeur inattendue à la série 1923, même si elle reste inégalement exploitée.
8. Le Chief Joseph Ranch : un lieu à part entière
Le Chief Joseph Ranch, lieu emblématique de la franchise Yellowstone, situé à Darby dans le Montana, est bien plus qu’un simple décor. C’est une véritable ferme en activité qui accueille chaleureusement les fans entre les tournages. Mais certains se demandent si cet aspect touristique ne finit pas par affaiblir l’authenticité des scènes. En revanche, ce ranch reste malgré tout une icône incontournable pour la série 1923.
9. Série 1923 : un tournage délocalisé pour la saison 2
C’est la fin pour la Tanzanie, cap sur le Texas. Pour des raisons budgétaires et logistiques, la 1923 saison 2 a vu une partie de son tournage migrer vers Austin et San Antonio au Texas. Bien que cela ait permis de contourner les grèves hollywoodiennes de 2023, certains fans regrettent la perte de l’ampleur visuelle offerte par les paysages exotiques. La question est de savoir si ce choix marque une baisse d’ambition ou une adaptation pragmatique.
10. Taylor Sheridan : entre génie et surmenage
Taylor Sheridan, le cerveau derrière tout l’univers Yellowstone, semble avoir tous les privilèges chez Paramount+. En anonymat, il supervise plusieurs séries à la fois, de la série 1923 à Tulsa King. Toutefois, cette omniprésence de Taylor a ses limites, car certains critiques notent un léger essoufflement dans la narration.
Ainsi, bien qu’ambitieuse, la série 1923 souffre par moment de cette dispersion. Du point de vue scénaristique, le résultat reste spectaculaire, mais manque par endroits de cohérence.